Riches sources de protéines, les insectes ont également l’avantage d’être pauvres en graisses, et de ne rejeter que très peu de CO2. Alors que la menace du réchauffement climatique pèse sur la planète, la grande consommation de viande des Hommes inquiète les écologistes. Porc, poulet et viande bovine sont certes riches en protéines, mais ils sont aussi émetteurs de grandes quantités de méthane, un gaz à effet de serre beaucoup plus polluant que le dioxyde de carbone. Manger des insectes apparaît comme la meilleure alternative à la viande pour conserver une alimentation à la fois riche et respectueuse de l’environnement. Mais si tout le monde s’accorde sur cette idée, c’est une autre affaire lorsqu’il s’agit de passer à l’action. « Le problème est là. Les gens croient que c’est sale », déplore Marcel Dicke, le chef du département d’entomologie de l’université de Wageningen.
Bon, eh bien bon appétit…
Source : avec l’aimable autorisation de www.touslesjoursunebonnenouvelle.fr.
Photo : Humpapa
Autre alternative :
Végétarien depuis 15 ans, je ne consomme plus aucune viande, de la crevette au bœuf. En variant mes repas (il y a encore un riche choix) les prises de sang effectuées jusqu’à ce jour ne démontrent aucune carence.
Il faut faire la différence entre nos réels besoins nutritifs et les besoins des lobbies de s’enrichir.
Le lait est notre ami jusqu’à maturité, après, il est parfaitement inutile voire indigeste. Adultes, nous trouvons suffisamment de calcium dans d’autres aliments.
Les insectes ?
Pour les avoir pas mal observé en photographe, oui, il sont sûrement bien plus propres que nos animaux d’élevage.
Mais comme un cheval, une vache ou un lapin, je n’ai aucune envie de sentir leur chair entre mes dents !
Ce n’est que mon avis : L’avenir des viandes est la « culture » grâce aux cellules souches.
« Cultiver » des blocs de viandes sans avoir à élever une bête semble tellement inévitable ; les industriels y verront comme d’habitude les bénéfices à faire, les « amis des animaux » seront bien contents qu’on leur fiche enfin la paix. Dans les assiettes, finis les ingestions d’antibiotiques et de produits chimiques liés à l’élevage…
Personnellement, merci, j’ai trouvé mon équilibre physique et psychique : Les animaux sont définitivement sortis de mon assiette.
Pour l’appétit, moi, ça va. Et vous ?